Car France, le traumatisme crânien est la première cause de mortalité et de handicap sévère avant l’âge de 45 ans, l’Association des Familles de Traumatisés Crâniens (AFTC Guadeloupe), en partenariat avec la Sécurité routière de Guadeloupe, se lance dans une campagne publicitaire de prévention pour le moins survitaminée !
Sans prendre le « melon », mais avec punch et dynamisme, la campagne tire la sonnette d’alarme sur le nombre croissant de traumatismes crâniens dans l’île, sur leur difficulté de prise en charge et sur le phénomène d’exclusion qui en découle pour les victimes. Le port du casque reste une nécessité pour se protéger et garder le cerveau indemne de tout traumatisme. En effet, comme nous le rappelle le Projet [57], les usagers vulnérables représentent une grande majorité des accidentés de la route ; ces victimes souffrent davantage que les autres usagers de séquelles graves et souvent irréversibles. La prise en charge des personnes cérébrolésées est aujourd’hui encore synonyme de grande adversité… Alors ne laissons pas la route gagner sur la vie, protégeons-nous et sécurisons les autres en faisant preuve de responsabilité et solidarité ! « ON TET, SA FRAGIL. Protéjé-y. A dé-wou, mété kas a-w. » « UNE TETE, C’EST FRAGILE. Protégez-la. A deux-roues, mettez votre casque. » Demandez une évaluation gratuite de votre situation !
SELON LES CHIFFRES DE L’AFTC :
Vous avez été victime des suites d'un accident ou d'une agression et souffrez d'un traumatisme crânien ?
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L’employeur commet une faute inexcusable lorsqu’il a exposé son salarié à un danger dont il avait ou aurait dû avoir conscience, et qu’il n’a pas pris les mesures nécessaires pour l’en préserver.
En vertu du contrat de travail le liant à son salarié, l’employeur est tenu envers celui-ci d’une obligation de santé, de sécurité et de résultat.
Faire reconnaître la faute inexcusable de l’employeur est donc un enjeu financier substantiel pour la victime d’un accident du travail, puisque cette reconnaissance lui ouvre droit à une indemnisation complémentaire forfaitaire et une possibilité de réparation des préjudices qu’elle a subis […]
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