La Route Du Rhum en 3 mots ? Rêve, défi, partage.
Le bateau en 3 mots ? Fiabilité, robustesse, vieux !
Trois qualités ? Déterminé, volontaire, généreux.
Trois défauts ? Rêveur, naïf, pas soigneux…
Pourquoi larguer les amarres ? L’aventure, l’inconnu.
L’objectif ? Être à l’arrivée en Guadeloupe.
Un objet fétiche ? Un chèche orange qui appartient à ma compagne.
La musique à bord ? Un peu de tout, avec une grosse dominante rock.
Les menus à bord ? Quelques plats sous-vide du restaurant « Les Causettes » à Plouër-sur-Rance. Du lyophilisé mais pas trop !
Le plat à l’arrivée ? Des acras et des petits boudins noirs.
La boisson à l’arrivée ? Une Corsaire bien fraîche !
Le marin de référence ? Thomas Coville.
Un souvenir marquant dans l’histoire du Rhum ? Je dirais le départ et l’arrivée de Lia Ditton [Aurélia Ditton], une concurrente anglaise, qui est devenue une amie en fin de compte. j’étais le dernier à la voir partir sur l’eau et j’étais le premier à l’accueillir en Guadeloupe. C’était en 2006. Autre souvenir de la Route Du Rhum, j’avais 17 ans et j’étais préparateur pour un ami qui faisait la Route du Rhum ; le passage des écluses le soir, c’était juste fantastique !
Votre devise ? Kimbé red, pa moli (« Tiens bon, ne mollis pas« , en créole)